Du 15 au 18 juin, une délégation de Wadern-Noswendel, nos villes jumelles de Sarre a séjourné à Montmorillon. Dès leur arrivée nos Amis Allemands furent reçus par Yves Bouloux, maire de Montmorillon, en présence de Patrice Bouteloup, adjoint à la Culture et aux Associations, Bernard Herbé, conseiller municipal, Bernard Garnier, président du Comité de Jumelage, et les Familles d’accueil.
La délégation allemande,conduite par Rudi Hero, maire de Noswendel, était composée de Michel et Rita Carrere, Bernd et Danielle Schröder, Mary Wiessenrieder.
Au restaurant Le Lucullus, le Comité de Jumelage a convié nos Amis à partager un succulent repas auquel étaient invités également les familles d’accueil et les membres du Bureau du Comité.
Mais l’utile doit se jondre à l’agréable…. Dès 9h, une réunion de travail intercomités se tenait dans les locaux de l’OTSI–aimablement mis à disposition–, en présence de Bernard Blanchet, président de l’EMIG et de son Directeur, Eric Viaud. Il s’agissait de préparer la venue, lé 26 octobre prochain, de la « Lyra » de Noswendel, qui donnera un grand concert commun avec l’EMIG.
Puis ce fut la visite de la Cité de l’Ecrit, par la « rude » montée du Brouard et l’entretien impromptu avec Guillaume de Russé, conseiller général et fidèle soutien du jumelage.
La découverte de la Cité de l’Ecrit se poursuivit par une halte au Musée de la Machine à Ecrire, qui passionna les visiteurs.
Mais il était temps de gagner la place du Terrier où fut inauguré le XIIIème Salon du Livre; le ruban fut coupé par Yves Bouloux, maire de Montmorillon et François de Closets, célèbre journaliste et invité d’Honneur du Salon. Après avoir parcouru les allées du Salon, la très bellle vue sur la vieille ville de Montmorillon fut appréciée de tous.
Le samedi soir, à l’invitation de la Municipalité, la délégation allemande, accompagnée des familles d’accueil, fut conviée au Repas des Ecrivains, dans le cadre magnifique de la chapelle Saint-Laurent. Une soirée fort réussie !
…Mais toutes les bonnes choses ont une fin ! le lundi matin il fallut songer au départ; un voyageur cependant ne voulait pas partir….le chien ! il fallut tout le pouvoir de persuasion de Bernard Herbé–qui lui glissa à l’oreille qu’il reviendrait– pour le décider à monter dans la voiture de ses maîtres. Au revoir et au mois d’octobre !